Résumé : Après une absence de quinze jours, il décide de lui faire une surprise, resto, hôtel, tout y est, le plaisir aussi. Mon histoire est parfaitement vraie…
Cela faisait maintenant 15 jours que son parfum me manquait, son parfum ? Non, ses bras, sa douceur, ses baisers, ses caresses. J’avais hâte de la retrouver et sentir ses baisers se poser sur mes lèvres et sentir ses mains caresser mon dos, ce qui, je le savais, provoquerait chez moi un début d’excitation et embraserait mon bas-ventre.
Nous nous connaissions depuis 3 ans et notre aventure s’était construite au fil du temps. Dès le premier regard j’ai été attiré par toi, je savais que tu étais de ces femmes si érotiques et amoureuses à la fois. Nos premiers ébats furent tel un volcan en éruption, nous étions en parfaite harmonie, ce qui a pour effet de nous emmener à la jouissance très souvent en même temps.
Toi et moi sans tabou, sans limite, sans retenue, pour seule limite le respect mutuel et l’amour naturel de notre couple.
Tu as maintenant 40 ans, brune, yeux vert, une poitrine envoûtante d’un joli 90b, un corps sportif que tu dois à ta pratique régulière de la piscine et de la course à pieds que nous pratiquons de temps en temps ensemble. Tom mètre 70 et tes 50 kilos me rendent fou de joie. Mais ce qui m’a envoûte chez toi, ce n’est que ton regard profond et ton visage radieux. Moi du haut de mes 35 ans, de mon mètre 90, de mes 80 kilos, je suis fou de toi, brun aux yeux marron nous formons un joli couple.
Ensemble, nous aimons les jeux érotiques de l’amour, nous repoussons de temps en temps certaines de nos limites, pour assouvir nos fantasmes respectifs. J’aime ton côté « coquine », lorsqu’en voiture tu te fais féline et te stationne à proximité d’un petit canal pour me « violer » sans retenue, en plein jour, au risque d’être surpris par quelques badauds. Dans ces moments là, notre jouissance et le plaisir nous submergent, plus rien n’a de sens, plus rien ne compte que nos corps soudés l’un à l’autre pour le plaisir charnel de se faire jouir.
Combien de fois tu m’as surpris en m’accueillant en tenue légère ou très sexy, que les bougies éclairaient avec romance la pièce de nos futurs ébats et autres jeux érotiques. L’utilisation de petits jouets et autres coquineries, exaltaient nos sens, jusqu’à se supplier de jouir…
Mais cette fois, j’avais décidé de mener le bal, j’avais envie de te surprendre, peut-être avais-je senti une certaine mélancolie, de la tristesse, des doutes, je savais que tu passais des moments personnels difficile et je voulais te faire oublier un peu les aléas de la vie, le temps d’une soirée coquine, érotique et sulfureuse.
Assez simplement je t’attendais donc après cette absence de 15 jours, les plaisirs solitaires que nous pratiquions chacun de notre côté ne suffisaient plus à assouvir ce besoin de pénétration pour ma part et la douceur charnel de mon sexe en toi pour toi.
J’avais décidé de réserver une table dans un joli château de la région et une chambre pour la nuit. Ainsi, nous n’aurions aucune retenue sur la très bonne bouteille de Bordeaux que tu auras choisie.
J’avais tout de même allumé quelques bougies et un fond musical donnait à la pièce une sensation légèrement romantique. Je m’étais habillé en conséquence. Dès ton arrivée, tu as senti que quelque chose de spécial se préparait, tu as vu dans mon regard ce petit brin de folie lorsque tu me rends fou. Nous nous sommes enlacés, embrassés, caressés et déjà, mon sexe commençait à réagir à ces caresses pourtant parfaitement innocentes et sages. Je savais que ton bas-ventre venait lui aussi de s’irradier de cette chaleur que tu connais si bien, ton regard, ton odeur, ton attitude me disaient déjà de te combler de joie, mais mes projets allaient t’obliger à patienter…
Je t’ai alors annoncé que tu devais te rendre dans la salle de bain pour d’apprêter et changer de tenue et adopter celle que j’avais déposé sur notre lit.
Certes, à la vue de ce que j’avais préparé pour te vêtir, tu compris immédiatement quelle tournure allait prendre cette soirée.
J’avais déposé sur le lit cette magnifique robe turquoise, assez courte, elle t’arrivait à mi cuisse, assez serré, je savais qu’en t’asseyant elle remonterait outrageusement sur tes cuisses et le haut, très échancré, ne cachait que le bout de tes seins. Ton buste ainsi dévoilé, attirerait les regards sur toi et les convoitises. J’avais également disposé tes bas et ton petit shorty qui moule si bien tes fesses et érotise l’ensemble de ton corps.
Lorsque tu es revenue dans le salon, mon sexe c’est gonflé immédiatement, je bandais déjà très dur à la simple vue de ton corps et de ces habits si érotiques. Cette barre dans mon caleçon, cette barre de 19 cm sur 4 de large ne demandait qu’a te prendre sauvagement, qu’a assouvir ce besoin si bestial, si humain, si bon… Tu t’es approchée de moi, tes mains se sont glissées sur mon cou et mon dos et nous nous sommes embrassés. Nos langues n’ont pas tardé à se rejoindre et tes lèvres me disaient de te prendre maintenant, je te savais déjà prête à recevoir mes coups de butoir et las assaut de ma langue sur ton clitoris, mais mon plan était bien différend, tu devais patienter. Je t’ai alors assise sur le canapé et j’ai eu mille peine du monde à ne pas te « violer » ici, maintenant. Je devais mettre mon plan à exécution, maintenant assise en face de moi, j’ai légèrement remonté le bas de ta robe pour atteindre ton merveilleux et seul sous vêtement, approchant alors ma bouche de ton sexe, l’odeur de ton intimité me parvint et me fit perdre la tête à tel point que mon sexe me faisait mal, à l’étroit dans ce caleçon. Lentement avec mes doigts, j’ai écarté ton shorty pour atteindre ta chatte, lisse, humide et béante, ne demandant qu’à être prise, ma langue parcourait le contour de tes lèvres et alternativement léchait ton clitoris et s’introduisait dans ce vagin en manque de virilité masculine. Lorsque tu te mise à gémir et que ton bassin commençait à onduler sous mes coups de langue, je sortis ma première surprise de la soirée. Déjà sur un nuage, tu ne compris pas tout de suite ce que je venais d’approcher de ton sexe. Et d’où tu étais, les plis de ta robe te le cachait. Les boules de Geisha que je venais d’acheter, étaient maintenant juste devant l’entrée de ton vagin, lors du contact du silicone sur tes petites lèvres, tu as certainement pensé que j’allais utiliser notre petit god, compagnon de certaines de nos soirées. La pénétration fut lente et lorsque la première boule s’introduisit dans ton vagin tu compris enfin quel objet venait de pénétrer ton intimité. Tu ne dis rien, me faisant entièrement confiance, sachant que notre amour était toujours présent, et ce même lorsque certains de nos ébats se finissent en baise, et que les mots crus quittent nos bouches afin de décupler nos sens, l’amour reste présent et le respect entier. J’allais maintenant t’enfoncer cette deuxième boule, je ne pus m’empêcher d’accompagner mon geste, de quelques coups de langues sur cette chatte complètement gonflée. Lorsque la deuxième boule fut avalée, seul le petit bout de chaine sortait de ton vagin en feu. Je remis tendrement en place le tissu en dentelle et tout en me relevant, remis ta robe en ordre. En relevant la tête, je vis ton regard de salope me dévorer, ton visage rougit de plaisir, tu en voulais plus, tes ongles qui s’agrippaient à ma chair ne voulaient plus me laisser partir. Tu me voulais, tu me désirais et tu comprenais que l’effet des ondes de choc qu’allaient te procurer les boules dans ton vagin, n’allait pas calmer ce feu que je venais d’allumer et que moi seul pouvait maintenant assouvir. La bouche encore pleine de ta mouille je t’embrassais et tes lèvres suçaient ma langue, cette même langue qui quelques instant plus tôt pénétrait ta grotte.
Non sans mal, nous avons pris la route de l’hôtel/restaurant et les 45 minutes de route furent très « dures » pour moi, tes mains ne cessaient de venir caresser mon sexe tendu à travers mon pantalon, tu me répétais que tu voulais me prendre en bouche, par défi et par jeu tu relevais encore plus ta robe et me dévoilait ainsi cette chainette qui sortait de ton vagin… Tes doigts, avec agilité, avaient lentement dégrafé les boutons de mon pantalon et lentement tu avais libéré ma queue de l’emprise des mes vêtements. Lentement, tes doigts se refermèrent sur elle et les mouvements de va-et-vient qu’imprimait ton poignet me rendirent fou, la tendresse avec laquelle tu branlais ma bite, la lenteur avec laquelle tu me pressais me rendait ivre… Ton autre main finit par rejoindre la première et là tes doigts s’attaquèrent à ma bourse, tendrement tu la caressais, tu sais que je suis sensible des couilles, et qu’un geste trop brusque me ferait immédiatement atterrir. Alors lentement tes ongles griffouillent cette peau si fragile, le contraste de tes gestes et du feu qui bouillonne en toi est surprenant. Je te vois féline et je te sens ange. Après quelques minutes de ce tendre supplice, je sens ton visage qui s’approche de mon pieu, et lentement ta bouche chaude s’entrouvre pour aspirer mon nœud, la chaleur de tes lèvres et la pression permanente de ta main sur ma queue rende ma conduite dangereuse, heureusement l’hôtel est proche, tu retires ta bouche, la salive coule le long de mon sexe, tu me branles encore un peu, en me regardant telle une chienne. Je stationne la voiture, tu me regardes et m’embrasses, je sens mon odeur sur ta bouche, alors tu me dis : « Humm, je sais que tu étais à deux doigts de venir… Vite rentrons j’ai faim… ». C’est main dans la main que nous rentrons dans ce luxueux restaurant, deux amoureux, deux amants, nous transpirons le bonheur et l’amour, les regards des 4 tables de ce restaurant select se fixent sur nous, les femmes nous regardent, les hommes te regardent. Je suis fier, tu es belle, je t’aime, tu m’aimes, et nous nous désirons plus que tout.
Une ravissante hôtesse, nous accueille, nous souhaite la bienvenue et nous invite à la suivre pour rejoindre notre table, immédiatement je remarque que ton regard se porte sur ses fesses, réflexe de femme ? Désir ? Envie ? Elle est brune, je sais que tu te dis qu’elle est susceptible de me plaire, tu connais mes goûts et mes critères. Je regarde à mon tour ses fesses et les tiennes, je souris en pensant aux plaisirs que nous allons prendre ce soir. Nous nous installons tout au fond de la salle, j’imagine la résonance des boules dans ton vagin et l’état d’excitation dans lequel tu dois être. Je me demande même si tu pourrais jouir simplement en marchant. La salle est petite et les discussions sont douces et silencieuses, les tables sont toutes formées de couples, la cinquantaine environ, seul le couple à côté de nous doit avoir dans les 45 ans. L’avantage de diner dans un grand restaurant est que l’ensemble de la clientèle est habillée très classe et souvent sexy pour les femmes, toi mon cœur, dans ce décor tu te sublime, je sais que certaines femmes t’envient et que certains hommes te désirent. Nous commandons immédiatement une très bonne bouteille de vin, tu es experte aussi dans ce domaine et ainsi le vin fera office d’apéritif, il n’est pas question d’être ivre ce soir. Un sommelier vient nous présenter la bouteille et l’ouvre devant nous, il veut me faire goûter, mais je lui annonce que l’experte c’est toi, que tu es douée pour ce qui es des plaisirs de la vie. Je te vois légèrement rougir devant cette réflexion, le sommelier te regarde et te déclare, « Mme à les atouts nécessaire pour les plaisirs de la vie, c’est une évidence ». Tu rougis un peu plus, mais le vin vient de toucher ton palais et tu pousses un magnifique « humm » de satisfaction, je suis surpris et excité par ton arrogance et ta répartie, l’homme nous quitte en nous souhaitant un bon appétit. Je te regarde, « Dis donc, petite coquine, tu vas énerver le sommelier avec tes gémissements » ! Et tu me rétorques que la seule personne que tu veux voir énervé ce soir, c’est moi…
Nous finissons par nous calmer et la conversation devient moins lubrique, nous parlons de nos projets, de la vie, de nous…
La serveuse revient avec les menus, elle est très belle c’est vrai, je sens qu’elle te plaît à toi aussi. Lors de nos ébats, lorsque les passions sont à leur nirvana, tu reconnais que tu aimerais t’abandonner dans les bras d’une femme, découvrir ce plaisir inconnu, le temps fera son office…
Tu ignores encore que nous allons passer la nuit sur place, tu te montres impatiente, je sens que tu as hâte que ce magnifique repas se termine, mais je laisse les choses trainer, je te fais languir…
Entre deux phrases, j’ose, je me lance, « écarte un peu ton haut que je vois tes tétons ! ». Mon ton est froid, dur, autoritaire, tu regardes autour de toi, tu me regardes à nouveau pour être sure que je suis sérieux, alors tu écartes légèrement ce haut et le téton de ton sein droit apparaît, dressé, magnifique, gonflé même, il bande. Je te sens fébrile, je bande comme un fou, tu rougis, signe que ça t’excite aussi. Je remarque presque aussitôt le regard du voisin à côté de nous, il te regarde avec insistance et ce mamelon érigé doit l’hypnotiser lui aussi. Subitement je sens ta main se poser sur ma cuisse, les tables sont étroites et les caresses sous la table sont possibles. Tu arrive à toucher mon sexe et tu comprends que je bande comme un fou. Je décide d’avancer dans mon petit jeu, à mon tour je passe la main sous la table, je caresse ton genou et puis l’intérieur de ta cuisse, j’arrive facilement sur ton pubis et mon index titille ton clitoris, je sens que tu es complètement inondé. La petite chaîne touche alors mon doigt et je m’en saisi. Lentement je tire et tu t’affales naturellement sur ta chaise, je sens que tu écartes les cuisses et la première boule ressort de ton orifice. Tu pousses un léger cri que moi seul entend. Ton shorty est trempé et mes doigts repoussent lentement la boule afin de la remettre au chaud dans son cocon. Je retire ma main et la porte à mon nez, puis à ma bouche, tu sens bon et cette cyprine est si bonne… Ton sein toujours sorti semble supplier ton viol.
Tu me regarde alors et tu m’annonces que tu coules sur la chaise, tu te demandes même si tu n’as pas uriné, chose qu’il t’arrive de faire lorsque tu jouis trop fort, ton corps t’abandonne et se relâche sans somation.
Tu te lèves alors pour rejoindre les toilettes, de nombreux regards se portent sur toi, je te regarde partir, aucune trace visible d’abandon, en revanche ta démarche laisse supposer que tu es fébrile et es prête à t’écrouler, je suis le seul à savoir que cette démarche est due au fait que ta jouissance est proche et promet d’être explosive.
Quelques instants plus tard, tu ressors des WC et ton allure est plus sûre, plus habituelle. J’ai peur que tu ais retiré notre nouveau petit jouet, je regarde alors tes mains, mais ce n’est pas le jouet que tu tiens ainsi négligemment, mais ta culotte souillée. Tu la tiens par un petit bout de dentelle et le reste tombe naturellement, il est exposé aux autres clients. Tu me regardes et tu souris, tu t’approches de moi, tu enfonces ta langue dans ma bouche et tu me dis qu’ainsi tu es plus à l’aise, et là tu déposes ton shorty dans mon assiette. Tu t’assieds et tu me regardes avec défi. Je n’y touche pas, la serveuse revient et tu souris à nouveau, elle regarde interloquée cette dentelle arrogante et à son tour me jette un sourire et son regard plonge en toi, elle vient de t’inviter à abuser d’elle.
Je retire de mon assiette ce tissu érotique et le pose à côté de mon verre, bien en évidence, j’ignore si d’autres personnes on remarqué cette audace de ta part.
Le repas se termine ainsi, calmement, seul nos discussions sont chaudes et pleines de désir, de temps en temps tu passes ta main sur mon sexe et cela semble te rassurer de voir que l’érection ne me quitte pas.
Le repas terminé, nous quittons la salle, pour rejoindre le jardin, la nuit est là et je t’attire sur un petit banc prêt d’un chêne. Nous nous asseyons et nous pouvons enfin nous embrasser sans retenue, sans prudence, nos mains deviennent exploratrice et vicieuse… Sans prévenir, tu t’accroupis devant moi et tu me demandes de sortir ma bite, je m’exécute, ravi de cette initiative, tu me prends fort entre tes doigts et immédiatement ta bouche vient violemment m’engloutir, tu aspires, tu lèches, tu mordilles même, tu es tellement concentrée à me bouffer la queue que tu n’entends pas le couple de 45 ans approcher. Ils nous regardent dans cette semi-obscurité et me sourient, je réponds à leur politesse et replonge mon regard sur toi. L’homme s’assoit sur le même banc que nous et dégrafe aussitôt sa braguette, son amie se positionne comme toi et commence à le sucer également. C’est à cet instant que tu ouvre les yeux, tu as d’abord un mouvement de recul et ton regard m’interroge, « Continue », te dis-je. Tu reprends alors tes mouvements et tes aspirations, curieusement je te sens plus « salope » depuis leur arrivée. L’homme te regarde, tu regardes sa femme qui me regarde, on bande fort tout les deux, je vois aussi que tu regarde sa queue, elle est belle, moins longue que la mienne, mais plus large me semble-t’il. L’homme me regarde et me félicite d’avoir une si jolie femme, si sensuelle, si belle, si coquine… Presque simplement il demande si un « échange » est possible. A priori sa femme est déjà d’accord, elle me regarde avec un léger sourire de petite coquine. Sans réfléchir, je lui réponds non, pour nous cette fellation « commune » est déjà une grande première, et puis ce soir c’est notre soir, une telle décision se prend en commun et dans le calme, il serait imprudent de réagir positivement sur le coup du désir et des envies. Peu de temps après, l’homme gémit et agrippe son amie par les cheveux, il se fige et à priori décharge entièrement sa semence dans le fond de la gorge de madame, elle avale tout sans sourciller et lui nettoie proprement le sexe à coup de langue. Cette scène relativement érotique me fait également venir, sachant que tu ne raffoles pas du sperme dans ta bouche je t’avertis que « je suis là », mais tu ne bouges pas et tu continues de me pomper, je répète mon avertissement une seconde fois craignant que tu n’es pas entendu, « je suis là », « je viens », ton regard me fixe et je comprends que je peux tout lâcher, que tu veux me goûter ce soir, mon sexe gonfle de plus belle, tu as du mal à le garder en bouche, et le liquide commence à courir le long de ma verge pour atteindre le nœud et enfin jaillir en une longue saccade de jets chauds… Tu as tout avalé, cela est assez rare pour que je le souligne, mais au fond de moi je sais que tu le fais pour moi, je suis heureux. Le couple nous quitte en nous saluant poliment. Tu me regardes et tu me remercies d’avoir refusé leur offre, nous sommes en parfait accord, ce n’est pas le moment pour nous, et ce ne le sera peut être jamais, laissons nos sens nous guider, et donnons nous le temps.
Maintenant tu me regardes telle une lionne devant sa proie, je sais que toi aussi tu veux, toi aussi tu désires, toi aussi tu veux crier et jouir comme jamais. Tranquillement, nous nous dirigeons vers la voiture, tu pense que nous allons rentrer et tu me déclares : « Elle m’a fait beaucoup d’effet cette serveuse, elle était vraiment belle, j’aurais vraiment aimé caresser sa poitrine… ». Je te connais bien, et je sais que le vin ingurgité pendant ce magnifique repas, inhibe tes sens, tes sensations et ton désir en sont décuplées.
C’est à ce moment là que je t’annonce que notre « suite » nous attend, peut-être que tu vas la recroiser. Tu as l’air heureuse de cette surprise, et en même temps, une crainte de retrouver cette serveuse, peut-être, et si tu franchissais le pas, quel serait ma position, les questions se bousculent et je t’embrasse, le goût de mon sperme dans ta bouche me procure une nouvelle érection, le souvenir de la fellation ravive mes sens. Les boules de geisha, s’entrechoquent en toi, tu frémis à chaque pas et je sens ton corps bouillir, comme si tu étais fiévreuse. Cette excitation permanente fait que tu me désires, du moins tu as cette envie de sexe permanente en toi.
L’escalier qui monte à notre suite est tout simplement magnifique, de bois, de tissus, de moquette, il semble provenir d’un autre temps. Mais le plus beau dans ce merveilleux tableau, c’est évidement toi, tu gravis les marches de cette escalier, tu es magnifique, j’aperçois la naissance de tes fesses, tes cuisses sont magnifiques, tu es belle, simplement. Le plus magnifique, c’est de savoir où nous allons et dans quel but, je sais que nous allons nous aimer, nous embrasser, nous désirer, réveiller nos sens, nos yeux vont s’observer et enfin nous saurons que notre amour est grand. Lorsque j’ouvre la porte, nous restons coi devant cette suite, elle est magnifique, je suis heureux, ça va être magique. Notre premier réflexe est de sauter dans le lit, il est immense, surement 2 mètres sur 2, j’adore, moi qui suis grand. Nous commençons à nous effeuiller, je retire mon jean, tu m’enlève mon boxer, je bande encore pour toi mon cœur, je te saisis par les hanches et je te jette sur le lit. Tu me provoques du regard et de ton corps. Je crève d’envie de te posséder. Il n’est pas tard, nous avons tous notre temps. Tu vises le bar, et nous espérons que du champagne refroidit à l’intérieur. Déception le bar contient seulement quelques bières et autres boissons sucrées. Une seule solution, je te souris et ton regard devient grave. Je décroche le téléphone et commande la bouteille, j’annonce que je vais descendre la chercher, tu sembles soulager. Je sais que l’éventualité de la serveuse dans notre chambre te plairait, mais tu ne partageras pas, je le sais et je ne le veux pas. J’arrive au bar, le barmaid semble un peu endormie, la bouteille est prête, dans un plateau en argent ou du moins ça y ressemble. Deux coupes en verre l’accompagnent, le torchon blanc, tout est là, impeccable. Je saisie le plateau, en me retournant avec le plateau dans les bras, j’aperçois la serveuse, elle me dévisage, je sens l’envie dans son regard. A mon tour je la dévisage et elle ne baisse pas les yeux, elle doit avoir mon âge, brune, les yeux bleus, 1m65, 55 kg, une poitrine plutôt généreuse 100 d je pense. Je ne sais pas pourquoi, sans réfléchir je lui tends le plateau, « Chambre -5-, elle attend ». Elle ne réfléchit pas non plus et prend le plateau, elle me quitte sans un mot, c’est vrai qu’elle à un beau cul…
Ça fait maintenant 1 heure que cette magnifique serveuse est rentrée dans notre suite, je suis affolé, curieux de ce qui se passe, excité, heureux, je sais que tu le voulais, j’ai forcé le destin ce soir pour toi, j’espère que tu ne m’en voudras pas ou pas trop. J’espère surtout que tu t’amuses vraiment.
Pour ma part j’ai retrouvé mon « camarade » de banc, il m’offre une cigarette, je la refuse… il doit penser que nous avons fait l’amour et que je suis descendu m’en griller une, comme lui.
Soudain, la serveuse réapparait, elle quitte l’hôtel, elle est en tenue « civile », elle me regarde et se dirige vers moi, son regard est coquin, elle m’embrasse sur la joue et me remercie…
Un peu timidement je retourne dans cette chambre, bêtement je frappe, j’ai peur de déranger… Tu me réponds, j’entre, tu es dans le lit, entièrement nue, tes cheveux sont ébouriffés, tu me souris, je m’approche et tu m’embrasses comme jamais.
Tu me déshabilles, tu arraches presque ma chemise, je suis nu à mon tour, ma bite dressée fièrement te nargue, je me suis parfaitement bien épilé moi aussi, je sais que tu aime ça, ça te plait. Lorsque ta langue parcourt ma queue, mes couilles, tu aimes que ce sois lisse. J’embrasse alors ton cou, je te plaque sur ce lit, j’ai envie de savoir ce qui c’est passé, mais j’attendrais que tu en parles en premier.
Je prends nos menottes, je t’attache à ce lit, je te bande les yeux, je me masturbe devant toi, mon sexe est violet de plaisir, je l’approche de ta bouche et tu l’avales, tu me pompes fort et goulument, je sens que je vais encore cracher, je me retire. J’embrasse tes seins, ton ventre, tes cuisses, tu les écartes et je vois avec surprise que la chaine est toujours là, j’embrasse tes lèvres, ton clito, ma langue lèche aussi ton œillet brun, immédiatement tu te cambres, ta réaction est immédiate, je le caresse avec mon index et doucement je l’enfonce, tu écartes outrageusement t’es cuisses, ça m’excite. Mon index est entièrement rentré, je lime lentement ton cul avec ce doigt, tu te tortilles de plaisir, je tire en même temps lentement sur la chaine, la première boule sort lentement, tu es folle de désir, tu aimerais de détacher et me voir, mais tu ne peux pas, cette sensation est pour toi insoutenable et tellement excitante. La première boule vient de sortir, tu as crié, je te chuchote à l’oreille que je t’aime, mon doigt lime toujours ton cul et mon autre main titille ton clito. Je te parle encore, que tu es ma salope, que je vais te prendre, que je vais te faire jouir, que nous allons jouir ensemble, en même temps. La deuxième boule quitte ton vagin, il est béant, il semble attendre ma bite, il est prêt à subir mes violents coups de butoir. Je te retourne et t’allonge sur le ventre, je relève tes hanches, ton cul est maintenant bien ouvert, mon doigt a fait des merveilles. J’y enfonce doucement et tendrement les boules de geisha, ton cul se dilate magnifiquement et gobe notre nouveau jouet, tu t’accroches aux draps, tu aime ce que je fais, je présente ma queue à l’entrée de ton vagin, je le caresse avec mon nœud, tu me supplies de te pénétrer, de te prendre, tu en crèves, tu veux ce pieux en toi, tu veux cette vie en toi, tu veux la sentir te limer, la sentir gonfler et enfin cracher son sperme. Enfin je te pénètre je lime ta grotte, je suis fébrile, trop excité, mes va-et-vient me donnent énormément de plaisir, je ressent les boules qui sont logées dans ton cul, je vais jouir, je le sens, immédiatement, tu te raidis et je saisis tes seins pour les pétrir, ma bite gonfle, je t’entends me crier, que tu « es là » je crache comme un fou, tu cries comme une folle, tu me dis de te bourrer plus fort, je te traite de salope, nous crions, nous nous griffons, nous transpirons… Humm mm, Salope, salope, je t’aime, je t’aime, je t’aime, mon cœur, merci, je t’aime… Nous restons ainsi, collés l’un en l’autre, nous nous embrassons fougueusement, repus, je t’avoues que tu es géniale, tu me remercies pour la soirée, le resto, la suite, la serveuse… Je te regarde, j’espère avoir un jour quelques détails… Tu devine mes interrogations… et tu me dis :
J’ai tout filmé avec ton portable, elle le voulait, on regardera demain…
Dors bien, bisous cœur…
dgevendee @ hotmail.fr
Proposée par Joshua
Absolument superbe. J’ai adoré! Bravo et merci.
Vocabulaire riche et soigné. excellente hisotire comme on en voit peu. Érotisme et lyrisme pur! félicitations
Tout à fait d’accord avec anonyme et beaucoco53 : ADORABLE !
Je veux la même femme…!!
Cela est si semblable à ce que nous vivons, l’homme de ma vie et moi ! Merci …